dimanche 25 août 2013

Des vérités qu’Israël n’arrive toujours pas à faire valoir.


Des vérités qu’Israël n’arrive toujours pas à faire valoir.

Alors qu’on a atteint  ces jours-ci le comble du ridicule quand Européens et Américains ont pointé un doigt accusateur sur la soi-disant "illégalité"  de futurs constructions israéliennes au-delà de "la ligne verte"  à Jérusalem, il est opportun de rappeler que nombreux sont les juristes en droit international qui se refusent de qualifier  la Judée Samarie de "territoires occupés  par Israël".

Ils affirment qu'au regard du droit international on ne peut considérer la Judée Samarie comme des "territoires occupés" puisque n'ayant pas étaient conquis à un pays auquel ils appartenaient légalement. Ces territoires ont été repris en 1967 par Israël,  lors d'une opération d'auto défense, de l'emprise de la Jordanie dont l'occupation était illégale et non reconnue dans l'arène internationale (sauf par l'Angleterre et le Pakistan).    

De toute façon les résolutions 242 et 338 de l’ONU  définissent ces territoires libérés par l’armée israélienne en 1967 de l’occupation Jordanienne comme des lignes de cessez le feu entre Israël et la Jordanie ! Mais en aucun cas entre Israël et une quelconque entité palestinienne qui n’existait pas à l’époque !

 Ces résolutions onusiennes ne définissent aucune frontière entre les belligérants et proposent à ceux-ci de les définir dans un accord de paix. Or les deux belligérants de l’époque, Israël et la Jordanie ont conclut en 1994 un accord de paix, la Jordanie ayant renoncé définitivement à l’occupation de la Cisjordanie (de la Judée Samarie).
La Palestine qui a été reconnue comme Etat non membre de l’Onu le 29 novembre 2012 (sans affectation de territoire particulier), n’est donc en rien concernée par le différend ayant opposée Israël et la Jordanie en 1967 et solutionné en 1994.

C’est pourquoi, des juristes de haut rang en Israël et à l’étranger ont toujours fait valoir qu’Israël est complètement dans son droit en installant ses citoyens en Judée  Samarie.
 Parmi eux se trouvent le Président de la Cour internationale de Justice à La Haye, le juge Stephen Schwebel, mais aussi le professeur Eliahu Lauterpacht de l’Université de Cambridge et le professeur Eugène Rostow, ancien doyen à l’école de droit de Yale, qui, avec d’autres, ont exprimé leurs analyses juridiques claires en ce qui concerne la juste revendication d’Israël sur la Judée et la Samarie, dans les circonstances historiques et juridiques.

Dans le diaporama ci bas vous verrez d’autres déclarations dans le même sens de personnalités politiques et juridiques .…..Et pourtant l’arène internationale dans son ensemble continue à rester sourde et aveugle à ces vérités juridiques préférant, poussée sans doute par une attitude viscérale anti israélienne (voir antisémite) ,la formule stéréotype accusatrice et trompeuse de "territoires occupés par Israël".

Z.T.

  Localités juives en Judée-Samarie

2 commentaires:

  1. M. Eugene Rostow n'a pas été "diacre" (ce serait stupide car il est juif) mais "doyen" de l'Université de Yale. Attention aux traductions approximatives...

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    1. Merci pour votre remarque. J'ai corrigé en conséquence Z.T.

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