lundi 31 décembre 2012

A l’occasion de Noël les Palestiniens nous rappellent ,une fois de plus, certains "faits historiques". Voici quelques récentes déclarations à ce sujet recueillies par PMW (Palestinian Media Watch}. Jibril Rajoub membre du comité central du Fatah : "Le plus grand Palestinien dans l’histoire depuis Jésus est Yasser Arafat" [PA TV (Fatah), Nov. 29, 2011] Dans le quotidien officiel de l’AP : “Jésus est Palestinien, celui qui s’est sacrifié pour nous ,Yassar Arafat ,est Palestinien, Mahmoud Abbas le messager de la Paix sur Terre est Palestinien…Comme est grande cette Nation de la sainte Trinité ! " [Al-Hayat Al-Jadida, Nov. 30, 2012] Le Cheikh Muhammad Hussein, Mufti de Jérusalem et des Territoires palestiniens : "La Nation Palestinienne est enracinée dans cette Terre depuis les Cananéens et les Jébuséens .La présence arabe – Chrétiens et Islamiques- sur cette Terre a été ininterrompue. Jésus est un Palestinien par excellence". [PA TV (Fatah), Nov. 30, 2012] Le Gouverneur de Ramallah, district Leila Ghannam : "La peine et la joie palestinienne ne font qu’un. Nous sommes tous en droit d’être fières que Jésus est Palestinien et que la Palestine est le lieu de naissance des religions" [Al-Hayat Al-Jadida, Dec. 24, 2012] L’historien palestinien Khalil Shoka : “La religion chrétienne est née ici (à Bethlehem) . Le Monde entier a les yeux fixés sur cette ville à cause de son rôle historique et traditionnel…à cause, en fin de compte ,du fait que Jésus est un Palestinien" [PA TV (Fatah), Dec. 16, 2012] Le quotidien official de l’AP: “Nous pouvons être fiers, Oh fils de Marie, du fait que vous soyez le premier Palestinien à avoir libéré le genre humain" [Al-Hayat Al-Jadida, Dec. 25, 2012] Il est à supposer que les Pays occidentaux qui ont admis les Palestiniens comme membres à l’UNESCO, les ont soutenus dernièrement à l’ONU et s’efforcent de leur mieux à introduire Jérusalem dans le Coran où elle n’est nullement mentionnée, ne feront pas objection quand ces derniers proposeront,pourquoi pas, l’établissement d’une commission à l’UNESCO pour "réviser et mettre à jour l’Ancien et le Nouveau Testament"…..N’est-ce pas une obligation du "politiquement correct" qui les guide pour tout ce qui est pro- palestinien…ou plutôt et surtout, anti-israélien ? Z.T. Dr Zvi Tenney Ambassador of Israel (ret) www.zvitenney.info

vendredi 28 décembre 2012

A l’occasion de Noël les Palestiniens nous rappellent ,une fois de plus, certains "faits historiques".

A l’occasion de Noël les Palestiniens nous rappellent ,une fois de plus, certains "faits historiques". Voici quelques récentes déclarations à ce sujet recueillies par PMW (Palestinian Media Watch}. Jibril Rajoub membre du comité central du Fatah : "Le plus grand Palestinien dans l’histoire depuis Jésus est Yasser Arafat" [PA TV (Fatah), Nov. 29, 2011] Dans le quotidien officiel de l’AP : “Jésus est Palestinien, celui qui s’est sacrifié pour nous ,Yassar Arafat ,est Palestinien, Mahmoud Abbas le messager de la Paix sur Terre est Palestinien…Comme est grande cette Nation de la sainte Trinité ! " [Al-Hayat Al-Jadida, Nov. 30, 2012] Le Cheikh Muhammad Hussein, Mufti de Jérusalem et des Territoires palestiniens : "La Nation Palestinienne est enracinée dans cette Terre depuis les Cananéens et les Jébuséens .La présence arabe – Chrétiens et Islamiques- sur cette Terre a été ininterrompue. Jésus est un Palestinien par excellence". [PA TV (Fatah), Nov. 30, 2012] Le Gouverneur de Ramallah, district Leila Ghannam : "La peine et la joie palestinienne ne font qu’un. Nous sommes tous en droit d’être fières que Jésus est Palestinien et que la Palestine est le lieu de naissance des religions" [Al-Hayat Al-Jadida, Dec. 24, 2012] L’historien palestinien Khalil Shoka : “La religion chrétienne est née ici (à Bethlehem) . Le Monde entier a les yeux fixés sur cette ville à cause de son rôle historique et traditionnel…à cause, en fin de compte ,du fait que Jésus est un Palestinien" [PA TV (Fatah), Dec. 16, 2012] Le quotidien official de l’AP: “Nous pouvons être fiers, Oh fils de Marie, du fait que vous soyez le premier Palestinien à avoir libéré le genre humain" [Al-Hayat Al-Jadida, Dec. 25, 2012] Il est à supposer que les Pays occidentaux qui ont admis les Palestiniens comme membres à l’UNESCO, les ont soutenus dernièrement à l’ONU et s’efforcent de leur mieux à introduire Jérusalem dans le Coran où elle n’est nullement mentionnée, ne feront pas objection quand ces derniers proposeront,pourquoi pas, l’établissement d’une commission à l’UNESCO pour "réviser et mettre à jour l’Ancien et le Nouveau Testament"…..N’est-ce pas une obligation du "politiquement correct" qui les guide pour tout ce qui est pro- palestinien…ou plutôt et surtout, anti-israélien ? Z.T. Dr Zvi Tenney Ambassador of Israel (ret)

vendredi 21 décembre 2012

Malgré le vote de l’ONU la "Palestine" est loin de devenir un Etat.

Comme on s’en souvient lors de sa réunion hebdomadaire à Jérusalem le 2 Décembre dernier, le gouvernement a adopté une résolution rejetant complètement la résolution de l’ONU reconnaissant de facto l’autorité palestinienne comme état souverain et indépendant. Dans son allocution d’ouverture, le premier ministre Netanyahu a déclaré : "Israël ne permettra pas que la Judée et la Samarie deviennent une base à partir de laquelle des missiles terroristes puissent être lancés sur des villes israéliennes. Il n’y aura pas d’état palestinien tant qu’Israël ne sera pas reconnu comme état juif, et qu’il n’y est pas un engagement signé mettant fin au conflit". Cette résolution adoptée par le conseil des ministres mentionne entre autres : "Le peuple juif a un droit naturel, historique et juridique dans sa patrie avec sa capitale éternelle Jérusalem. L’état d’Israël en tant qu’état du peuple juif a des droits et des revendications en Judée Samarie, territoires qui sont encore en litige . La résolution adoptée par les Nations Unies ne change en rien le statut de ces zones contestées, pas plus qu’elle ne porte atteinte au droit de l’état d’Israël et du peuple juif sur ces zones reconquises par Israël à la suite d’une attaque des pays arabes victorieusement repoussée". Ceux sont là des conclusions qui ont l’assentiment complet des experts en Droit international qui soulignent que la dernière résolution de l’ONU n’a pas créé un état palestinien et n’a pas non plus accordé un nouveau statut aux Palestiniens. Toutes les résolutions de l’Assemblée générale, et notamment celle-ci ne peuvent déterminer ni dicter au Droit international sa mise en pratique sur le terrain. Ces experts rappellent que les zones de Gaza et de la Cisjordanie (Judée et Samarie) n’ont jamais été définis et reconnus, sur le plan juridique comme des territoires palestiniens souverains. Ils resteront tels tant qu’Israël et les palestiniens se disputent ces zones en conflit. Après ce vote ni le statut d’Israël dans les territoires, ni celui des Palestiniens n’a été changé ou modifié. Rappelons à ce propos que les résolutions 242 du Conseil de sécurité des Nations unies (1967) et 338 (1973) ont appelé les parties à œuvrer pour un accord négocié, et Israël et l’OLP ont accepté de régler toutes les questions pertinentes concernant l’avenir de ces zones et leur statut permanent que par la voie de la négociation directe. La déclaration de dirigeants palestiniens qu’Israël est à présent devenu, du jour au lendemain, "un occupant du territoire sous souveraineté palestinienne" est sans aucun fondement. . De plus, et nous l’avons signale dans un dernier courrier,les spécialistes en droit international nous ont fait remarquer que selon la Convention de Montevideo de 1933 sur les droits et devoirs des Etats (reconnue comme part du droit international coutumier), un Etat en tant qu'entité du droit international doit posséder les éléments suivants : -une population permanente, -un territoire défini, -un gouvernement unique et fonctionnel, -la capacité d'entrer en relation directe avec les autres états. Il est claire que ces conditions ne sont nullement remplies par cet Etat imaginaire que les Palestiniens ont soumis à la reconnaissance de l’Assemblée de l’ONU qui ne possède ni un gouvernement fonctionnel ni un territoire défini et reconnu et qu’il ne répond donc d’aucune manière aux conditions de la loi internationale. En effet tant qu’existeront deux entités séparés, le Hamas dominant la bande de Gaza et le Fatah gouvernant en Cisjordanie (Judée et Samarie), tant que les deux « frères » ennemis sont à couteaux tirés militairement et idéologiquement, il est clair qu’aucun honnête observateur ne pourra raisonnablement soutenir la thèse étatique des Palestiniens. Mahmoud Abbas a donc par cette démarche unilatérale créé tout simplement de faux espoirs qui ne pourront qu’approfondir au sein de la population palestinienne les frustrations et les déceptions. Seul un climat de confiance mutuelle pourra permettre de reprendre sincèrement la voie des négociations pour s’acheminer enfin vers la paix dans notre région. Z.T. Dr Zvi Tenney Ambassador of Israel (ret) www.zvitenney.info
Malgré le vote de l’ONU la "Palestine" est loin de devenir un Etat. Comme on s’en souvient lors de sa réunion hebdomadaire à Jérusalem le 2 Décembre dernier, le gouvernement a adopté une résolution rejetant complètement la résolution de l’ONU reconnaissant de facto l’autorité palestinienne comme état souverain et indépendant. Dans son allocution d’ouverture, le premier ministre Netanyahu a déclaré : "Israël ne permettra pas que la Judée et la Samarie deviennent une base à partir de laquelle des missiles terroristes puissent être lancés sur des villes israéliennes. Il n’y aura pas d’état palestinien tant qu’Israël ne sera pas reconnu comme état juif, et qu’il n’y est pas un engagement signé mettant fin au conflit". Cette résolution adoptée par le conseil des ministres mentionne entre autres : "Le peuple juif a un droit naturel, historique et juridique dans sa patrie avec sa capitale éternelle Jérusalem. L’état d’Israël en tant qu’état du peuple juif a des droits et des revendications en Judée Samarie, territoires qui sont encore en litige . La résolution adoptée par les Nations Unies ne change en rien le statut de ces zones contestées, pas plus qu’elle ne porte atteinte au droit de l’état d’Israël et du peuple juif sur ces zones reconquises par Israël à la suite d’une attaque des pays arabes victorieusement repoussée". Ceux sont là des conclusions qui ont l’assentiment complet des experts en Droit international qui soulignent que la dernière résolution de l’ONU n’a pas créé un état palestinien et n’a pas non plus accordé un nouveau statut aux Palestiniens. Toutes les résolutions de l’Assemblée générale, et notamment celle-ci ne peuvent déterminer ni dicter au Droit international sa mise en pratique sur le terrain. Ces experts rappellent que les zones de Gaza et de la Cisjordanie (Judée et Samarie) n’ont jamais été définis et reconnus, sur le plan juridique comme des territoires palestiniens souverains. Ils resteront tels tant qu’Israël et les palestiniens se disputent ces zones en conflit. Après ce vote ni le statut d’Israël dans les territoires, ni celui des Palestiniens n’a été changé ou modifié. Rappelons à ce propos que les résolutions 242 du Conseil de sécurité des Nations unies (1967) et 338 (1973) ont appelé les parties à œuvrer pour un accord négocié, et Israël et l’OLP ont accepté de régler toutes les questions pertinentes concernant l’avenir de ces zones et leur statut permanent que par la voie de la négociation directe. La déclaration de dirigeants palestiniens qu’Israël est à présent devenu, du jour au lendemain, "un occupant du territoire sous souveraineté palestinienne" est sans aucun fondement. . De plus, et nous l’avons signale dans un dernier courrier,les spécialistes en droit international nous ont fait remarquer que selon la Convention de Montevideo de 1933 sur les droits et devoirs des Etats (reconnue comme part du droit international coutumier), un Etat en tant qu'entité du droit international doit posséder les éléments suivants : -une population permanente, -un territoire défini, -un gouvernement unique et fonctionnel, -la capacité d'entrer en relation directe avec les autres états. Il est claire que ces conditions ne sont nullement remplies par cet Etat imaginaire que les Palestiniens ont soumis à la reconnaissance de l’Assemblée de l’ONU qui ne possède ni un gouvernement fonctionnel ni un territoire défini et reconnu et qu’il ne répond donc d’aucune manière aux conditions de la loi internationale. En effet tant qu’existeront deux entités séparés, le Hamas dominant la bande de Gaza et le Fatah gouvernant en Cisjordanie (Judée et Samarie), tant que les deux « frères » ennemis sont à couteaux tirés militairement et idéologiquement, il est clair qu’aucun honnête observateur ne pourra raisonnablement soutenir la thèse étatique des Palestiniens. Mahmoud Abbas a donc par cette démarche unilatérale créé tout simplement de faux espoirs qui ne pourront qu’approfondir au sein de la population palestinienne les frustrations et les déceptions. Seul un climat de confiance mutuelle pourra permettre de reprendre sincèrement la voie des négociations pour s’acheminer enfin vers la paix dans notre région. Z.T. Dr Zvi Tenney Ambassador of Israel (ret) www.zvitenney.info

samedi 8 décembre 2012

 
La raison fondamentale du gel des négociations israélo-palestiniennes.

La tendance aujourd’hui dans les pays occidentaux est d’accuser le gouvernement israélien du gel des négociations avec les Palestiniens pour arriver à la solution souhaitée de deux Etats.
Cette tendance est renforcée ces temps derniers par les attaques dans ce même sens de dirigeants politiques israéliens d’opposition qui par considérations préélectorales ne craignent pas, ce faisant,  de tomber au comble du ridicule. N’ont-il pas été eux-mêmes, quand ils étaient au pouvoir, incapables de faire aboutir ces négociations ?      

Certes la propagande arabe n’a pas eu grand mal à convaincre l’opinion publique occidentale que les implantations juives étaient et sont la cause principale du conflit .Mais qu’en est-il vraiment ?
Rappelons qu'en Juillet 2000 Ehoud Barak, alors premier Ministre, s’était engagé lors de conversations avec Arafat sous l’égide du Président Clinton, à  démanteler ces implantations, acceptant l'établissement d'un Etat palestinien sur 97 % de la Judée-Samarie et 100 % de la bande de Gaza…Mais les Palestiniens, comme réaction, déclenchèrent “l’Intifada al-Aqsa”, une guerre utilisant des bombes humaines explosant dans les concentrations de population civile en Israël : ils ne pouvaient pas accepter la seule condition posée en contrepartie par Barak que les Palestiniens s’engagent à ce que l’accord qu’il proposait "mette fin au conflit”.

Rappelons également qu’en 2008 Ehud Olmert à son tour proposa de nouveau à Mahmoud Abbas ce même plan de paix incluant même l’abandon de Jérusalem-est avec le mont du Temple et le mur occidental et le transfère en Israël de quelques milliers de réfugiés  palestiniens. Mais cette proposition   fut également rejetée par l’
OLP. Dans une interview publiée dans le Washington Post du mois de mai 2009 Mahmoud Abas expliqua  que " les écarts étaient encore trop importants".

Une tentative supplémentaire a été faite ensuite par le Président Obama qui demanda  au gouvernement israélien de geler durant neuf mois toute construction dans les implantations comme condition à la reprise des négociations…Israël accepta et se soumit à cette condition, mais les Palestiniens eux ont continué dans leur refus de reprendre les négociations.

Rappelons enfin la dernière tentative israélienne de reprendre les négociations quant Natanyahu dans sa « Déclaration de  Bar Ilan » annonça qu’il était prêt à des négociations qui aboutiraient à l’établissement de deux Etats, l’un palestinien et l’autre juif….C’en était trop pour les Palestiniens ! S’engager à ce qu’il y ait un Etat juif alors que leur objectif fondamental est d’effacer de la région toute entité juive israélienne ? Il n’en est pas question.

…Et le Monde occidental dans son aveuglement se refuse obstinément de prendre conscience de cet état de fait qui est la cause fondamentale du conflit arabo-israélien qualifié depuis 1967 de palestino israélien.

En voici d’ailleurs, ci bas, quelques exemples de confirmation de la bouche même de dirigeants palestiniens de l’OLP, et à leur tête Mahmoud Abbas, considérés par le Monde occidental comme "modérés et partenaires privilégiés aux négociations de paix".

N’est-il pas temps que le Monde occidental, tellement intéressé à l’établissement de la paix dans notre région, sorte de son aveuglement afin de pouvoir y contribuer réellement ?

Z.T

Dr Zvi Tenney
Ambassador of Israel (ret
 
              


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