dimanche 25 août 2013

La "politique arabe" de la France toujours aussi bizarre


La "politique arabe" de la France toujours aussi bizarre  

Selon "Dreuz.info" et "Reuters" certains journalistes français rapportent qu’en visite dans la région ces jours ci, Mr Fabius a d’abord fait un don aux  Arabes de Ramallah ; une avance de 9 millions d’Euros,  bel acompte sur cadeau de fin d’année, qui sera complété sans doute par le Président Hollande lors de son voyage fin décembre dans la région .

Il a ensuite a rappelé la position de la France sur la question israélo-palestinienne, une position tristement banale : "Les Palestiniens ont le droit à un Etat, et cet Etat doit vivre aux côtés de celui d’Israël, le tout dans la paix et la sécurité. C’est le moment d’une percée vers la paix", Et d’ajouter cette contre vérité : "Je tiens à rappeler que les colonies israéliennes en Cisjordanie sont illégales au regard du droit international" ....Pas un mot sur le contenu haineux des Médias officiels et des manuels scolaires palestiniens,contre les Juifs et Israël dont ils ne reconnaissent pas le droit à l'existence.

Pour terminer son entretien avec Monsieur Abbas, après avoir "évoqué brièvement" les "petits" problèmes des pays voisins, Egypte, Syrie, Liban, Iran, il a assuré que cela ne faisait pas oublier la question palestino-israélienne qui était, qui reste et restera au centre de ses préoccupations. Les 100 000 morts de Syrie, les massacres de Chrétiens et la destruction de 80 églises en Egypte, les attentats terroristes des derniers jours au Liban ne sont donc pas "au centre des préoccupations" de Monsieur le ministre français des affaires étrangères .

Monsieur Fabius s’est rendu aujourd’hui à Jérusalem, capitale historique du peuple juif que la France refuse ,depuis plus de 60 ans, de reconnaître aux Israéliens, mais qu’elle est prête à reconnaître aux Arabes de Palestine.. Allez savoir pourquoi !

Il ne fait aucun doute, selon ces journalistes, que la France poursuit là sa triste politique selon laquelle désireuse de promouvoir la "paix dans la région", elle est prête  à l’imposer aux Israéliens tout "en caressant les Arabes dans le sens du poil".

Z.T.









Des vérités qu’Israël n’arrive toujours pas à faire valoir.


Des vérités qu’Israël n’arrive toujours pas à faire valoir.

Alors qu’on a atteint  ces jours-ci le comble du ridicule quand Européens et Américains ont pointé un doigt accusateur sur la soi-disant "illégalité"  de futurs constructions israéliennes au-delà de "la ligne verte"  à Jérusalem, il est opportun de rappeler que nombreux sont les juristes en droit international qui se refusent de qualifier  la Judée Samarie de "territoires occupés  par Israël".

Ils affirment qu'au regard du droit international on ne peut considérer la Judée Samarie comme des "territoires occupés" puisque n'ayant pas étaient conquis à un pays auquel ils appartenaient légalement. Ces territoires ont été repris en 1967 par Israël,  lors d'une opération d'auto défense, de l'emprise de la Jordanie dont l'occupation était illégale et non reconnue dans l'arène internationale (sauf par l'Angleterre et le Pakistan).    

De toute façon les résolutions 242 et 338 de l’ONU  définissent ces territoires libérés par l’armée israélienne en 1967 de l’occupation Jordanienne comme des lignes de cessez le feu entre Israël et la Jordanie ! Mais en aucun cas entre Israël et une quelconque entité palestinienne qui n’existait pas à l’époque !

 Ces résolutions onusiennes ne définissent aucune frontière entre les belligérants et proposent à ceux-ci de les définir dans un accord de paix. Or les deux belligérants de l’époque, Israël et la Jordanie ont conclut en 1994 un accord de paix, la Jordanie ayant renoncé définitivement à l’occupation de la Cisjordanie (de la Judée Samarie).
La Palestine qui a été reconnue comme Etat non membre de l’Onu le 29 novembre 2012 (sans affectation de territoire particulier), n’est donc en rien concernée par le différend ayant opposée Israël et la Jordanie en 1967 et solutionné en 1994.

C’est pourquoi, des juristes de haut rang en Israël et à l’étranger ont toujours fait valoir qu’Israël est complètement dans son droit en installant ses citoyens en Judée  Samarie.
 Parmi eux se trouvent le Président de la Cour internationale de Justice à La Haye, le juge Stephen Schwebel, mais aussi le professeur Eliahu Lauterpacht de l’Université de Cambridge et le professeur Eugène Rostow, ancien doyen à l’école de droit de Yale, qui, avec d’autres, ont exprimé leurs analyses juridiques claires en ce qui concerne la juste revendication d’Israël sur la Judée et la Samarie, dans les circonstances historiques et juridiques.

Dans le diaporama ci bas vous verrez d’autres déclarations dans le même sens de personnalités politiques et juridiques .…..Et pourtant l’arène internationale dans son ensemble continue à rester sourde et aveugle à ces vérités juridiques préférant, poussée sans doute par une attitude viscérale anti israélienne (voir antisémite) ,la formule stéréotype accusatrice et trompeuse de "territoires occupés par Israël".

Z.T.

  Localités juives en Judée-Samarie

mercredi 14 août 2013

Le conflit israélo-palestinien devenu marginal au Moyen Orient.


Le conflit israélo-palestinien devenu marginal au Moyen Orient.

Il semble que les Etats-Unis,qui ont œuvré pour un début de rapprochement diplomatique entre Israël et les Palestiniens, espèrent encore qu'une solution négociée du conflit auquel ces derniers sont confrontés,  contribuerait à résoudre d'autres problèmes dans la région.
Mais nombreux sont les analystes indépendants qui n'y croient guère. C’est le cas entre autres de Salman Shaikh, Qatari, Directeur du Brookings Doha Center et spécialisé dans la médiation et la résolution des conflits au Moyen-Orient et en Asie du Sud
 A leur avis il y a quelques années, la reprise des négociations israélo-palestiniennes après trois ans d'interruption, aurait constitué un événement majeur pour tout le Moyen-Orient. Ce n'est plus le cas aujourd'hui tant la région est accaparée par ses tensions religieuses, ses troubles politiques et ses difficultés économiques.

 En effet depuis la rupture des précédentes négociations israélo-palestiniennes en 2010, des régimes autoritaires ont été renversés en Tunisie, en Egypte, en Libye et au Yémen, l'extrémisme islamiste a étendu son influence et les affrontements entre sunnites et chiites se sont multipliés.

En Syrie, le bilan de plus de deux ans de guerre civile dépasse 100.000 morts et en Irak, les violences sont redevenues quasi-quotidiennes, avec plus de 1.000 personnes tuées ces derniers mois, le pire bilan depuis 2009 selon l'Onu.
S'y ajoutent les tensions liées au programme nucléaire de l'Iran et les turbulences politiques en Egypte qui ont tourné ces jours derniers en affrontements entre l’armée et les Frère musulmans faisant de nombreuses victimes.

Au dire de ces analystes, les chances de résoudre l'une ou l'autre de ces crises majeures n'augmenteraient sans doute aucunement si, par miracle, Israël et les Palestiniens parvenaient enfin à un accord politique et territorial.

Ceux qui jugent possible un tel accord à brève échéance sont si rares que nombreux s'interrogent sur l'implication dans le dossier israélo-palestinien du secrétaire d'Etat américain, John Kerry, alors que tant d'autres dossiers méritent son attention dans la région.

 Il parait d’ailleurs que les dirigeants musulmans eux mêmes ont de plus en plus de mal à attribuer au seul Etat d'Israël tous les malheurs des Palestiniens, un discours qui leur a longtemps permis de balayer les critiques sur leur incapacité à engager des réformes pourtant indispensables.

Il semble bien que les soulèvements politiques ont montré depuis 2011 que les pays concernés ne pouvaient plus se permettre de négliger leurs propres difficultés, à commencer par leurs faiblesses économiques auxquelles un accord de paix entre Israéliens et Palestiniens ne changerait absolument rien.

Z.T.

lundi 5 août 2013

L’Occident indifférent aux menaces proférées contre l’existence d’Israël ?

L’Occident indifférent aux menaces proférées contre l’existence d’Israël ?

Il a été largement publié que le nouveau Président iranien,Hassan Rohani qui essaye de cultiver une image "d'homme modéré et pragmatique", a révélé ces jours-ci son vrai visage en déclarant à l'occasion de la Journée annuelle de Jérusalem, que "le régime sioniste est une blessure infligée au monde musulman qui doit être nettoyée".
Son prédécesseur, Mahmoud Ahmadinejad, pour sa part a déclaré le même jour, sans grande surprise, "qu'une tempête dévastatrice va déraciner la base du sionisme"

Il est navrant de constater que ,(autant que je sache),  les pays occidentaux n’ont pas trouvé nécessaire de  réagir et de condamner ces déclarations.
Ils semblent préférer continuer à  voir en  Hassan Rohani "un modéré et un  pragmatique qui donnera une chance aux discussions sur le nucléaire".
Ils se refusent à reconnaître que malgré le changement de son Président, le but de l’Iran est resté inchangé : développer une arme nucléaire qui leur servirait entre autres contre l’Etat d’Israël dont il refuse l'existence.

Au dire de tous les experts en la matière, il s'agit bien d'un danger non seulement pour Israël et le Moyen Orient mais pour le Monde entier.
On est donc en droit de se demander la raison pour laquelle les pays occidentaux s'obstinent à s'illusionner et ne prennent pas conscience de cette réalité pour agir enfin en conséquence .  

Z.T.