Des vérités qu’Israël n’arrive toujours pas à
faire valoir.
Alors qu’on a atteint ces jours-ci le comble du ridicule quand
Européens et Américains ont pointé un doigt accusateur sur la soi-disant
"illégalité" de futurs constructions israéliennes au-delà de "la ligne
verte" à Jérusalem, il est opportun de
rappeler que nombreux sont les juristes en droit international qui se refusent
de qualifier la Judée Samarie de
"territoires occupés par
Israël".
Ils affirment qu'au regard du droit international
on ne peut considérer la Judée Samarie comme des "territoires occupés" puisque
n'ayant pas étaient conquis à un pays auquel ils appartenaient légalement. Ces
territoires ont été repris en 1967 par Israël, lors d'une opération d'auto
défense, de l'emprise de la Jordanie dont l'occupation était illégale et non
reconnue dans l'arène internationale (sauf par l'Angleterre et le
Pakistan).
De toute façon les résolutions 242 et 338 de
l’ONU définissent ces territoires
libérés par l’armée israélienne en 1967 de l’occupation Jordanienne comme des
lignes de cessez le feu entre Israël et la Jordanie ! Mais en aucun cas entre
Israël et une quelconque entité palestinienne qui n’existait pas à l’époque
!
Ces
résolutions onusiennes ne définissent aucune frontière entre les belligérants et
proposent à ceux-ci de les définir dans un accord de paix. Or les deux
belligérants de l’époque, Israël et la Jordanie ont conclut en 1994 un accord de
paix, la Jordanie ayant renoncé définitivement à l’occupation de la Cisjordanie
(de la Judée Samarie).
La Palestine qui a été reconnue comme Etat non
membre de l’Onu le 29 novembre 2012 (sans affectation de territoire
particulier), n’est donc en rien concernée par le différend ayant opposée Israël
et la Jordanie en 1967 et solutionné en 1994.
C’est pourquoi, des juristes de haut rang en
Israël et à l’étranger ont toujours fait valoir qu’Israël est complètement dans
son droit en installant ses citoyens en Judée
Samarie.
Parmi eux se trouvent le Président de la Cour
internationale de Justice à La Haye, le juge Stephen Schwebel, mais aussi le
professeur Eliahu Lauterpacht de l’Université de Cambridge et le professeur
Eugène Rostow, ancien doyen à l’école de droit de Yale, qui, avec d’autres, ont
exprimé leurs analyses juridiques claires en ce qui concerne la juste
revendication d’Israël sur la Judée et la Samarie, dans les circonstances
historiques et juridiques.
Dans le diaporama ci bas vous verrez d’autres
déclarations dans le même sens de personnalités politiques et juridiques .…..Et
pourtant l’arène internationale dans son ensemble continue à rester sourde et
aveugle à ces vérités juridiques préférant, poussée sans doute par une attitude
viscérale anti israélienne (voir antisémite) ,la formule stéréotype
accusatrice et trompeuse de "territoires occupés par
Israël".
Z.T.
M. Eugene Rostow n'a pas été "diacre" (ce serait stupide car il est juif) mais "doyen" de l'Université de Yale. Attention aux traductions approximatives...
RépondreSupprimerMerci pour votre remarque. J'ai corrigé en conséquence Z.T.
Supprimer