mercredi 20 février 2013

L’apport de l’économie israélienne à nos relations stratégiques avec les E.U.

L’apport de l’économie israélienne à nos relations stratégiques avec les E.U.  

Les relations Israël-Etats-Unis qui ont toujours été basées sur  des valeurs communes dont le respect de la démocratie et sur des intérêts stratégiques profonds, semble au dire de notre Ambassadeur aux E.U., s’enrichir dernièrement d’une coopération économique grandissante.

Le commerce bilatéral a connu ces dernières années une progression impressionnante, Israël devenant le 20eme plus important exportateur vers les E.U. devançant  la Russie, l’Argentine, l’Espagne ou l’Irlande.
Quasi mensuellement une nouvelle entreprise israélienne s’établit en Amérique.
Juste le mois dernier s’y sont établies à Maryland « Israel Aerospace Industries Ltd » et « Elta Systems ».
Réciproquement presque chaque entreprise high-tech américaine importante est établie en Israël . On apprend d'ailleurs entre autres qu'Apple, ouvrira d’ici à la fin 2013, un troisième centre de recherche et développement (R&D) en Israël, à Raanana.
Israël est non seulement le seul pays au monde où Apple ait choisi d’installer sa R&D – autre que son célèbre «  Infinite Loop » à Cupertino en Californie – mais elle ne se contente pas d’un seul centre de R&D, puisqu’elle a choisi d’y en ouvrir trois.

Cette décision inédite d’Apple, société réputée pour sa politique de centralisation et de secret, est une grande preuve de confiance envers Israël, et constitue la preuve la plus éclatante de l’excellence et de la créativité des ingénieurs israéliens.

N’oublions pas également qu’Israël est le troisième pays en nombre d’entreprises nationales  qui se négocient en bourse à Nasdaq après les E.U. et la Chine.

Il ne fait donc pas de doute qu’Israël est devenu un partenaire économique de première importance pour les E.U. et cela s’est entre autres manifesté le mois dernier quand les E.U. ont décidé d’élargir  les garanties qu’ils assurent aux prêts que peut contracter Israël de par le monde.

C’est donc à juste titre que l’Ambassadeur d’Israël, M.Oren, estime qu’aujourd’hui l’alliance stratégique entre les E.U. et Israël  est bien plus variée, profonde et solide que celle qu’ils ont avec d’autres pays y compris même avec la Grande Bretagne…...Et ce n’est pas peu dire ! !

Z.T.

Pour la France : Deux poids et deux mesures dans le combat antiterroriste

Pour la France : Deux poids et deux mesures dans le combat antiterroriste.
Lundi dernier  la France, par la voix du Quai d’Orsay, s’est dite "très préoccupée" par la situation des prisonniers (terroristes) palestiniens en grève de la faim de longue durée et a appelé les autorités israéliennes à "être sensibles au risque d’une issue tragique".
Faut-il signaler que  ces "prisonniers palestiniens en grève de la faim" sont  tous des terroristes islamistes ayant commis, ou s’apprêtant à commettre des attentats contre la population israélienne?
En Israël, quand on met la main sur des criminels terroristes  islamistes, on les juge selon une justice digne de ce nom ,au moins autant qu’en France, on les emprisonne et on les traite selon les règles en vigueur dans son système pénitentiaire qui n’a rien à envier à celui de la France.
On se demande donc comment et par quelle logique  la France dont le Président  F. Hollande, interrogé sur le sort des islamistes qui opèrent au Mali, a déclaré  dernièrement qu’ils  "seront éliminer", puisse oser sans crainte du ridicule faire une telle déclaration.
A ce propos on ne sait d’ailleurs  pas encore si la France, avec ses alliés de l’armée malienne, a fait contrairement à cette déclaration, des prisonniers islamistes qu’elle combat et si oui, comment les traite-t-elle.
Les Israéliens se battent  contre,  les mêmes terroristes islamistes que la France poursuit au Mali, ou encore en Afghanistan. Est-ce donc acceptable que ce qui est admis pour la France, agissant dans des zones  à des milliers de kilomètres de son territoire national, serait interdit à Israël quand il s’agit de sa défense vitale sur son propre territoire national ou à sa proche proximité ?
Z.T.

mercredi 13 février 2013

La solution du conflit exige une approche realiste

A la veille de la visite en Israël du Président Obama, on entend de plus en plus de déclarations du genre faites il y a quelques jours par Hillary Clinton, à savoir, qu’avec le renforcement en Israël des partis de centre-gauche après les dernières élections, il y avait à présent plus de chance de faire avancer une solution du conflit palestino israélien. 
Ceux sont là des déclarations que l’on entend aussi bien en Europe qu’en Amérique. Cela laisse sous-entendre clairement que la solution de ce confit dépend de la volonté israélienne de faire des concessions aux Palestiniens que seul le centre-gauche politique en Israël est disposé à faire.
 N’est-ce pas là une vision aberrante quand on se souvient que les concessions quasi absolues faites par Ehoud Barak alors P. M., qui s’était engagé en Juillet 2000 à démanteler toutes les implantations, acceptant l'établissement d'un Etat palestinien sur 97 % de la Judée Samarie et 100 % de la bande de Gaza, n’ont abouti à rien comme d’ailleurs celles réitérées dans le même sens en 2008 par le P.M. d’alors Ehud Olmert ? N’est-ce pas curieux que toutes ces déclarations fassent fi également du fait que le démantèlement de toutes les colonies israéliennes dans la bande de Gaza et sa restitution totale aux autorités palestiniennes ont eu les résultats désastreux que l’on connaît ? 
D’où provient ce refus obstiné de discerner la véritable et fondamentale cause de ce conflit palestino israélien, à savoir le refus arabe d’accepter l’existence d’Israël en tant qu’Etat du peuple juif ? 
Pourtant même le Président Abbas considéré comme « modéré » a déclaré dernièrement haut et fort et sans ambages « qu’il n’acceptera jamais, même dans mille ans, un Etat juif au coté de l’Etat palestinien ». Les médias officiels et les manuels scolaires de l’Autorité palestinienne n’en font d’ailleurs pas un secret, loin de là. 
Il est donc incompréhensible de voir les Européens nous pointer du doigt comme responsables de la prolongation du conflit et soutenir les Palestiniens, sans tenir le moindre compte du manque de leur implication à la réalisation de la « solution à deux Etats » et de leur refus de reconnaître Israël, en tant qu’Etat Juif. Pire encore, les gouvernements européens continuent de transférer des fonds aux Palestiniens, même s’ils sont parfaitement conscients du fait que l’Autorité palestinienne – qui est dirigée par le Fatah et le Hamas – éduque des générations de jeunes gens à poursuivre la lutte contre Israël jusqu’à son anéantissement..
 Il faut signaler à ce propos que des membres du Parlement européen ont dernièrement échoué dans toutes leurs tentatives répétées de déterminer comment les fonds européens transférés généreusement aux Palestiniens sont utilisés et employés à financer le terrorisme, l’incitation antijuive et celle contre Israël. Un rapport interne élaboré par l’Union Européenne sur le sujet n’a pas été permis d’être publié…..Et pour cause ! 
La question se pose donc pourquoi le Monde occidental, si soucieux de faire progresser un processus de paix dans notre région, ne s’occupe pas de ce refus palestinien de toute solution du conflit qui inclurait un Etat juif et préfère faire pression sur Israël qu’il s’obstine à considérer comme étant seul détenteur de la clef de la solution pacifique du conflit ? 
Z.T. Dr Zvi Tenney Ambassador of Israel (ret

vendredi 8 février 2013

"Le Monde" cité en correctionnel pour sa subjugation au concept "Palestine"

"Le Monde" s’obstinant à ignorer le fait qu’en 1947 le concept d’"Etat palestinien" n’existait pas, le Mouvement Siona en France a décidé de le citer devant le Tribunal Correctionnel de Paris pour "Faux Intellectuel* et Usage de Faux".
 En effet, le journaliste de ce quotidien, Alain Frachon, avait publié il y a quelque temps, que la résolution 181 des Nations Unies du 29 Novembre 1947, portait sur la création de deux Etats sur le territoire de l’ancienne Palestine mandataire, un Etat juif et un "Etat palestinien" .

Ceci est, comme chacun le sait, totalement inexact. La dite résolution ne faisait pas mention d’un Etat palestinien, mais d’un "Etat arabe". Siona demanda donc en conséquence au quotidien Le Monde de faire les rectifications nécessaires et cela, en conformité de la Charte de Munich adoptée le 24 novembre 1971 par l’ensemble des syndicats de journalistes européens, qui fait obligation de "rectifier toute information qui se révèle inexacte". Devant le refus réitéré du journal Le Monde de rectifier son information erronée, Siona l’a fait citer devant le Tribunal Correctionnel de Paris, pour "Faux intellectuel* et usage de Faux". L’audience a été fixée pour le 5 février 2013.

 Z.T.

 * Le faux intellectuel est la rédaction d'un document dont les énonciations sont contraires à la vérité, qui affirme des faits qui sont inexacts. Le faux intellectuel se caractérise par des mensonges ou des omissions. Il peut résulter d'une simulation.

jeudi 7 février 2013

La France et le Hezbollah

Pour la France il n'est pas encore sûr qu'il faille qualifier le Hezbollah d'organisation terroriste. Malgré les conclusions de l'enquête du gouvernement Bulgare sur l'attentat meurtrier l'été dernier à Burgas dans lesquelles le Hezbollah est nettement accusé de cet acte terroriste, la France hésite encore et se dérobe de prendre position contre cette organisation. En effet le porte-parole du Quai d’Orsay a annoncé ces jours-ci :"Nousavons bien pris note des déclarations du ministre de l’intérieur bulgare au sujet de l’attentat de Burgas. Nous en tirerons les conséquences, en coordination avec nos partenaires européens.Diverses options sont à l’étude". Il a de plus cru bon de devoir rappeler que "l’inscription sur les listes de l’Union européenne par définition relève d’une décision unanime à 27" En somme le porte-parole du Quai d’Orsay a laissé entendre que les conclusions de l'enquête du gouvernement Bulgare ne changeront probablement pas la position de la France, mettant à profit pour la circonstance les hésitations de certains membres de l’Union européenne en la matière. Z.T.